Pour qu’il neige

Une jeune femme et sa mère partent à Tokyo pour quelques jours de vacances , avec l’envie de retrouver leur complicité perdue. C’est à un chemin de mémoire que nous convie l’auteure qui en dit si bien les tâtonnements. Nos certitudes qui ne correspondent pas toujours à celles de l’autre, cet autre qu’on croit toujours connaître et qui pourtant nous échappe. Jessica Au parle merveilleusement de ce qui nous échappe, mais aussi de ce qu’il est possible de retrouver si on décide d’accepter non seulement la lumière mais aussi les zones d’ombres qui nous habitent nous et les autres.

Une petite merveille de délicatesse.